Dimanche 19 mai 2019
Notre avocate, Sophie, nous parlera de la justice ordinaire en temps de guerre à Lyon.
Récits notamment de :
- la mort de Clotilde Bizolon ;
- un jeune résistant devant les sections spéciales ;
- la justice d’épuration ;
- les grands procès de l’après guerre (Touvier-Barbie)
Balade suivie d’un pause gourmande.
Informations pratiques :
Lieu de rendez-vous : RDV à 14h30 à la Gare de Perrache devant la Billetterie;
Après-midi : Balade guidée par Sophie, avocate, suivie d’une pause gourmande.
Participation : 30 € . Ce tarif comprend la visite commentée et la pause gourmande;
Réservation conseillée avant le : 15 mai.
Pour vous inscrire, cliquez ici !
Clotilde Bizollon , “La maman des poilus” (1871-1940):
C’est en pensant à son jeune fils mobilisé en septembre 1914, qu’elle improvise avec quelques planches un comptoir dans le hall de la gare de Perrache, où elle sert aux soldats en transit, du vin et du café bien chaud. La mort de son fils en mars 1915 ne l’arrête pas et elle finit même par convaincre le maire de Lyon, Édouard Herriot, de faire construire devant la gare un abri en “dur”, un vrai « pieds humides » où, en plus d’un café, les poilus trouvaient écoute et réconfort.
Cet été, un voyage en Champagne vous est proposé
Petits et grands crimes de la guerre
Dimanche 19 mai 2019
Notre avocate, Sophie, nous parlera de la justice ordinaire en temps de guerre à Lyon.
Récits notamment de :
Balade suivie d’un pause gourmande.
Informations pratiques :
Lieu de rendez-vous : RDV à 14h30 à la Gare de Perrache devant la Billetterie;
Après-midi : Balade guidée par Sophie, avocate, suivie d’une pause gourmande.
Participation : 30 € . Ce tarif comprend la visite commentée et la pause gourmande;
Réservation conseillée avant le : 15 mai.
Pour vous inscrire, cliquez ici !
Clotilde Bizollon , “La maman des poilus” (1871-1940):
C’est en pensant à son jeune fils mobilisé en septembre 1914, qu’elle improvise avec quelques planches un comptoir dans le hall de la gare de Perrache, où elle sert aux soldats en transit, du vin et du café bien chaud. La mort de son fils en mars 1915 ne l’arrête pas et elle finit même par convaincre le maire de Lyon, Édouard Herriot, de faire construire devant la gare un abri en “dur”, un vrai « pieds humides » où, en plus d’un café, les poilus trouvaient écoute et réconfort.
Cet été, un voyage en Champagne vous est proposé
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