Dimanche 16 février 2020
Le musée, édifié au milieu du XVe siècle, était à cette époque une demeure privée nommée «Maison de la Couronne», habitée successivement par des familles marchandes lyonnaises.
Il a été cédé à la ville de Lyon en 1956.
Des travaux ont été réalisés en vue de l’ouverture du Musée en 1964.
Vous découvrirez les grandes richesses de l’imprimerie de Gutenberg à nos jours et de nombreux documents anciens et contemporains .
L’un des musées d’imprimerie les plus importants d’Europe.
Visite suivie d’une pause gourmande.
Informations pratiques :
Lieu de rendez-vous : à 14h30 , 13 rue de la Poulaillerie – LYON 2 – A l’accueil du musée;
Après-midi : Visite guidée par notre spécialiste;
Participation : 40 € . Ce tarif comprend la visite commentée et la pause gourmande;
Réservation conseillée avant le : 10 février.
Pour en savoir un peu plus …
La richesse patrimoniale du musée lui a permis de se positionner comme l’un des plus importants d’Europe dans son domaine. Aujourd’hui, il est reconnu par le monde graphique national et international avec lequel il entretient de nombreuses collaborations par le biais d’expositions temporaires remarquées : Les Didot, 1988 ; Le Romain du Roi, 2002 ; Chromolithographie, 2005 ; Art pour tous, 2011 ; Transatlantiques, 2013… Les échanges scientifiques sont nombreux avec l’Europe, la Grande-Bretagne, le Canada, l’Amérique du Nord, la Corée. Le musée est membre fondateur de l’Association of European Printing Museum qui rassemble les principaux musées, institutions et ateliers patrimoniaux d’Europe ; son directeur de 2002 à 2015, Alan Marshall, est président de l’AEPM depuis 2012.
Le musée a fêté son cinquantenaire en 2014 avec une nouvelle présentation de sa collection permanente et une nouvelle appellation, Musée de l’imprimerie et de la communication graphique, qui évoque son implication dans le monde d’aujourd’hui. En 50 ans, les industries graphiques ont connu des évolutions foudroyantes, passant des techniques traditionnelles au numérique. Les collections du musée ont suivi cette évolution et se sont considérablement élargies.
Aux côtés des produits nobles (le livre, l’estampe), des imprimés de toutes sortes ont fait leur entrée en force, du ticket de bus à la casquette du « Tour de France », de la publicité « Vache qui rit » à l’indicateur de chemin de fer, du journal gratuit à la pochette de disque des années 1960 ou à la BD ; s’y sont ajoutés les objets témoins de la révolution numérique comme bandes et cartes perforées, supports de mémoire électronique, programmes informatiques, photocomposeuses et polices de caractères numériques… Cette collection élargie fait aujourd’hui une large place, dans le musée, aux imprimés et objets des XIXe et XXe siècles et à leur foisonnante créativité graphique.
Source : http://www.imprimerie.lyon.fr